Poirel se livre pour à peine 20 € !

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Afin d’ouvrir ses rangs au plus grand nombre, l’Ensemble Poirel a mis en place le très avantageux carnet « Six fois scènes » qui débute ce mois-ci. Une offre pleine de privilèges pour applaudir de grands artistes, dans des conditions optimales !

Premier privilège et pas des moindres, en optant pour la formule Six fois scènes qui comprend 6 contremarques, la place ne coûte plus que 20 €. Un vrai coup de pouce quand on sait que les places plein tarif en première catégorie grimpent à 48 € pour les spectacles de série A. L’idée est claire : ouvrir au plus grand nombre, faciliter le partage, être accessible.

Une grande souplesse

Contrairement à la plupart des abonnements classiques, le Six fois scènes est très souple. Des exemples ? Et bien la moitié des six contremarques n’est pas nominative. Vous pouvez donc venir avec un ami en lui faisant bénéficier de vos avantages. En outre, ces  contremarques vous donnent accès en priorité aux places de première catégorie (les meilleures !), dans la limite naturellement des places disponibles.
Par ailleurs, rien n’est imposé dans le choix des spectacles. Vous faites en fonction de vos envies, de vos possibilités et de vos goûts.

Encore des avantages !

Le Six fois scènes vous permet aussi de bénéficier de tarifs réduits aux concerts NJP 2013 ayant lieu à Poirel, tout comme d’être invités à des RDV surprises, à des visites et même à la grande exposition Le feu sacré, verre et création contemporaine présentée actuellement aux Galeries Poirel.

Chicos Mambo et Occupe-toi d’Amélie

Les deux premiers spectacles (17 oct. et 29 nov.) vont être riches en couleurs. D’un côté, une troupe délirante qui rend hommage à la danse en bouleversant les codes, de l’autre Hélène et Fougerolles et Bruno Putzulu dans un vaudeville truculent de Feydeau.
Les mois qui suivent vous réservent d’autres belles surprises : Clotilde Courau dans un hommage intime à Piaf, Richard III à la sauce Pierre Richard, du théâtre avec Steinbeck (Des souris et des hommes), Francis Weber (où Gérard Jugnot endosse avec talent la naïveté de François Pignon) et un hommage à Ionesco, le maître de l’absurde. À découvrir sans tarder.

www.poirel.nancy.fr

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