Les échecs existent depuis des siècles. Il n’y a pas d’âge pour apprendre à jouer ; c’est même un plus pour les enfants. Explications.
Les échecs, tout le monde sait à quoi cela ressemble : un damier noir et blanc, des pièces aux noms archi-connus : la tour, le fou, la reine… Mais bien souvent, on croit les règles trop difficiles et on hésite à y apprendre à jouer, ou à y inscrire ses enfants. Pourtant, ce jeu développe de nombreuses qualités.
Des qualités multiples
Tout d’abord, et comme tout jeu, il apprend à gagner et à perdre. Des expériences indispensables qui participent à l’équilibre de tout un chacun. Les échecs permettent aussi de développer ses qualités d’observation et d’analyse (rapide) d’une situation. Il faut apprendre à concevoir une méthode, à bâtir une chaîne de déductions qui amène éventuellement à déceler une faille dans son raisonnement, bref, à faire fonctionner ses « petites cellules grises ». Aux échecs, l’imagination, la mémoire, la motricité, la logique, l’observation, l’esprit critique, l’analyse et l’analyse sont sollicités en permanence et sont étroitement imbriqués. Des qualités qui servent tout au long de la vie, dans tous les domaines : privé, scolaire, professionnel…
Le club Stanislas Echecs
Ce club dynamique propose, sur l’ensemble des écoles de l’agglomération, des initiations aux échecs en activité périscolaire. La qualité de ce club est reconnue au niveau national. Pour preuve, l’école primaire Charlemagne remportait en 2011 la première place au Tournois National de Ecoles. En outre, il organise à chaque fin d’année scolaire une journée d’échecs qui regroupe près de 400 enfants.
Petits ou grands, on gagne toujours à jouer aux échecs !