Protégez-vous des aléas de la vie…
Reconnu pour ses qualités de banque mutualiste, le Crédit Agricole de Lorraine est aussi l’assureur de confiance de près de 200 000 clients Particuliers, Professionnels, Agriculteurs, Entreprises, Associations et Collectivités. À ce titre, il protège, depuis trente ans, ses clients des aléas du quotidien.
En distribuant les offres des compagnies PACIFICA et PREDICA du Groupe Crédit Agricole, le Crédit Agricole de Lorraine tire sa légitimité de l’étendue et la qualité de ses offres, et du professionnalisme de ses conseillers. À la fois banquier et assureur, il se démarque par la relation de confiance établie avec ses clients. « La confiance construite grâce à notre activité bancaire trouve sa continuité dans le domaine de l’assurance. En tant qu’assureur, nous protégeons nos clients des aléas de la vie », résume Étienne Gosset, Directeur des Processus Banque Assurance. Cette confiance mutuelle vaut à l’assureur l’excellent taux de satisfaction clients de 93 % parmi nos clients sinistrés*.
Une réponse diversifiée et personnalisée
Grâce à une gamme d’offres multi-marchés suffisamment diversifiée pour couvrir l’ensemble des besoins de ses clients professionnels, particuliers, agriculteurs, mais aussi entrepreneurs, le Crédit Agricole de Lorraine apparaît, pour beaucoup, comme le partenaire d’une vie.
Il couvre ses clients particuliers et leur famille contre les accidents de la vie, les problèmes de santé, assure leur protection juridique, protège leurs biens et projets d’investissement immobilier (via une assurance emprunteur).
Aux professionnels et agriculteurs, elle propose des offres de prévoyance, d’assurance santé, de garantie de revenus, et protège leur activité professionnelle grâce à l’assurance multirisque.
Les agriculteurs bénéficient par ailleurs d’une assurance spécifique contre les risques climatiques (assurance récolte, des prairies, grêle et tempête). « Face à l’accroissement de la fréquence des événements climatiques, avec les conséquences que l’on sait pour les agriculteurs, il nous fallait mettre en place une offre réellement adaptée. En cas de sinistres, nous répondons rapidement à leur demande d’indemnisation. Grâce à notre réseau d’unités de gestion de sinistre, nous les accompagnons avec expertise. Nos clients bénéficient par ailleurs de l’appui de nos conseillers agricoles et conseillers spécialisés en assurance sur le territoire, où nous sommes largement déployés », précise Etienne Gosset.
Grâce à son autre casquette, celle de banquier, le Crédit Agricole de Lorraine peut aller au-delà de ses missions d’assureur en appréhendant précisément les conséquences financières des sinistres de ses clients.
Contrairement à une assurance en ligne, il s’appuie sur des femmes et hommes spécialistes, proches de leurs clients. Ce soin, cette attention porté(e) au client fait tout l’intérêt – et la réussite – du modèle banque assureur, brillamment incarné par le Crédit Agricole de Lorraine.
1992 : année de naissance de la branche assurance en Lorraine
Près de 200 000 clients assurés (en Moselle, Meurthe-et-Moselle et Meuse)
1er assureur français
1, 2 million de sinistres traités par an
93 % de clients sinistrés sont satisfaits*
*enquête réalisée auprès de 3 621 clients des Caisses Régionales et du LCL en 2021
Paroles de sinistrés
Quelques clients du Crédit Agricole de Lorraine, récemment sinistrés, ont accepté de raconter ce qui leur était arrivé, et de quelle prise en charge ils ont bénéficié.
Clément Thouvenin, Agriculteur
Les faits : Producteur de lait, de viande, de céréales et de fromage, Clément Thouvenin a vécu, l’été dernier, la destruction de sa presse à bottes rondes. Achetée trois ans auparavant, la machine était parfaitement entretenue et avait, comme chaque jour, été soufflée et graissée. Ce matin-là, Clément avait réalisé 30 bottes de luzerne. En fin de journée, alors que son frère utilisait la machine à son tour, un caillou est venu frotter contre la tôle, provoquant des étincelles qui ont mis le feu à la botte en cours de fabrication et à la machine, qui a brûlé au milieu d’un chemin entre deux parcelles. Le temps que les pompiers arrivent, la presse était complètement calcinée.
« Nous avons immédiatement contacté notre assureur, Pacifica, filiale d’assurances dommages du groupe Crédit Agricole Assurances. Dans la semaine, l’expert venait et dans les deux jours, il rendait son rapport. Nous avions acheté la presse 42 000 euros, et avons été dédommagés à hauteur de 41 700 euros, via un virement reçu dans les trois jours. Cette rapidité d’exécution nous a permis d’acheter sans attendre une machine neuve et ainsi, de préserver l’activité ».
Laetitia Villenave, gérante de la pizzeria Le four à bois (Pulnoy)
Les faits : Le 18 juillet 2020 à 3h00, Laetitia Villenave est réveillée par les cris de sa voisine : un incendie est en cours dans son jardin, des stères de bois entreposés proviennent des flammes atteignant les trois mètres de haut. Immédiatement, Laetitia et son conjoint sortent leurs enfants de la maison, mais alors que les pompiers arrivent sur les lieux, le couple réalise que la pizzeria, attenante à la maison familiale, est également en feu. Alors que les pompiers leur intiment de quitter les lieux – des bouteilles de gaz présentes pourraient exploser à tout moment –, Laetitia s’arme de baquets d’eau, son conjoint du tuyau extérieur et ils réussissent, à eux deux, à éteindre le feu. Cause présumée de l’incendie ? Des pétards lancés dans la nuit par de jeunes fêtards.
« Dans ce contexte dramatique, j’ai été particulièrement soulagée de voir mes trois assurances, personnelle, de copropriété et professionnelle, toutes signées chez Pacifica, travaillait ensemble. À chaque étape de la reprise en charge et de la reconstruction, j’ai été conseillée, accompagnée, appelée. Si quatre mois de travaux ont été nécessaires à rebâtir mon outil de travail, les virements effectués rapidement, et dans des montants suffisants, m’ont permis de redémarrer mon activité sans attendre. Évidemment, le traumatisme est encore présent, mais mes enfants sont en bonne santé, et à côté de ça, rien ne compte ».
Thibaut Molter, particulier
Les faits : Le 7 février 2021, quatre jours seulement avant la naissance de leur deuxième fille, Thibaut Molter déjeune, en famille, chez son beau-père, lorsque son épouse et lui-même reçoivent des appels répétés d’un numéro qu’ils ne connaissent pas. Ils finissent par décrocher : une personne du village leur signale que de la fumée sort du toit de leur maison. Dix minutes plus tard, lorsqu’ils arrivent chez eux, tout le dernier étage est en feu. Ils parviennent à extraire leur chien, ainsi qu’un certain nombre d’objets et meubles, grâce à la présence, en nombre, d’amis, et à la sécurisation des lieux par les pompiers. Après expertise, l’incendie aurait été causé par un chargeur de téléphone resté branché, qui aurait surchauffé et provoqué, au contact du mur en bois de la chambre, l’incendie.
« En plus du toit qui avait entièrement brûlé, l’eau projetée par les pompiers a détrempé les murs et les étages inférieurs. Le soir même, nous avons signalé l’incendie à l’assurance, qui nous a immédiatement trouvé un hôtel pour nous reloger. Nous avons préféré aller chez ma mère, qui habite à côté, et grâce à l’assurance, nous avons pu payer une maison en location, le temps de la rénovation de notre maison. Nous avons, dès le départ, été parfaitement accompagnés par des conseillers très à l’écoute, et qui n’ont pas discuté la valeur des biens perdus. Les travaux s’achèveront en novembre. Dès lors, nous pourrons entamer une nouvelle page de notre vie à quatre ».
3 questions à Thierry Blanc,
Responsable des sinistres agricoles et professionnels chez Pacifica, filiale du Groupe Crédit Agricole
En cas de sinistre, que doit faire le client assuré ?
Le client nous appelle sur le numéro vert. L’appel est pris en charge par un assistant, professionnel polyvalent formé à enregistrer les sinistres de toute nature. Dès lors, le client se voit remettre un numéro de ligne directe, qu’il peut appeler à tout moment. Au vu des faits rapportés, l’assistant met ensuite en place les solutions adaptées. Dans certains cas, il missionnera un expert, chargé de faire le constat précis des pertes occasionnées.
L’expert est-il indépendant ?
Absolument. Il intervient pour le compte d’un cabinet d’expertise, lequel travaille avec plusieurs assureurs. Aucune consigne ne leur est donnée, il agit de manière objective. Notre objectif est celui-ci : dédommager le client le plus justement possible, et être pour lui un facilitateur.
Qu’entendez-vous par « facilitateur » ?
Cela consiste à tenir le client informé tout au long de l’avancée du dossier, et à gérer, chaque fois que c’est possible, les démarches à sa place, ce qui suppose, de notre part et de la sienne, une confiance réciproque. À la clôture du dossier, le client sera interrogé sur son niveau de satisfaction ; nous nous nourrissons en effet du vécu de nos clients et de leur expérience pour nous remettre en question régulièrement, toujours dans l’optique d’améliorer notre satisfaction client.
Propos recueillis par Cécile Mouton
Publireportage - Photos © Crédit Agricole de Lorraine, DR